Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

charlestonwoman

23 août 2008

Méfiez vous de la fille aux cheveux courts

Méfiez vous de la fille aux cheveux courts Car elle veut être libre et cela sans attache, messieurs Elle vous possédera corps et âme et jamais, vous ne Pourrez l'atteindre. Elle dansera toute la nuit, Son corps se mouvant, vous ne saurez résister A la mort, vous serez condamné Ou non!.......à la souffrance éternelle Le pire dans cette affaire est Que celle-ci n'en a que faire Une fois l'un passé, l'autre suit Gamine, elle demeurera Et pour toujours elle jouera Avec les êtres comme avec des poupées grandeurs natures La femme fatale, elle sera De jolies toilettes elle s'enveloppera Un collier sautoir, des fleurs dans les cheveux aussi Vous appateront tout comme Lorsqu'elle se posera sur vous, attention Car c'est son grand moyen de séduction: Réveiller l'instinct paternel en vous Son nom, Loulou Louise ou Lola, Nana Les femmes comme elles portent toujours ces prénoms là Leur magnétisme attirent tous les hommes Tandis que leurs fiancées et femmes se cloisonnent Rêvant elles aussi de cette liberté Dont elles ne peuvent jouir de peur, D'être rejetée, piétinée Alors que c'est durant la période des années folles On fume, on boit, on se pare Alors ni une, ni deux, ces dernières débarquent Dansant elles aussi, cherchant du regard Un prétendant bien qu'avec un peu de retard Sauf qu'une fois leurs objectifs atteints Revoici le matin et courant, elles Doivent rejoindre leurs copains Ivres, morts, fatigués, torturés et j'en passe Tel fut leur destin de débauchés Encore des victimes de la fille aux cheveux courts De jolies toilettes elle s'enveloppera Un collier sautoir, des fleurs dans les cheveux aussi Vous appateront tout comme Lorsqu'elle se posera sur vous, attention Car c'est son grand moyen de séduction: Réveiller l'instinct paternel en vous Son nom, Loulou Louise ou Lola, Nana Les femmes comme elles portent toujours ces prénoms là Leur magnétisme attirent tous les hommes Tandis que leurs fiancées et femmes se cloisonnent Rêvant elles aussi de cette liberté Dont elles ne peuvent jouir de peur, D'être rejetée, piétinée Alors que c'est durant la période des années folles On fume, on boit, on se pare Alors ni une, ni deux, ces dernières débarquent Dansant elles aussi, cherchant du regard Un prétendant bien qu'avec un peu de retard Sauf qu'une fois leurs objectifs atteints Revoici le matin et courant, elles Doivent rejoindre leurs copains Ivres, morts, fatigués, torturés et j'en passe Tel fut leur destin de débauchés Encore des victimes de la fille aux cheveux courtses La femme fatale, elle sera De jolies toilettes elle s'enveloppera Un collier sautoir, des fleurs dans les cheveux aussi Vous appateront tout comme Lorsqu'elle se posera sur vous, attention Car c'est son grand moyen de séduction: Réveiller l'instinct paternel en vous Son nom, Loulou Louise ou Lola, Nana Les femmes comme elles portent toujours ces prénoms là Leur magnétisme attirent tous les hommes Tandis que leurs fiancées et femmes se cloisonnent Rêvant elles aussi de cette liberté Dont elles ne peuvent jouir de peur, D'être rejetée, piétinée Alors que c'est durant la période des années folles On fume, on boit, on se pare Alors ni une, ni deux, ces dernières débarquent Dansant elles aussi, cherchant du regard Un prétendant bien qu'avec un peu de retard Sauf qu'une fois leurs objectifs atteints Revoici le matin et courant, elles Doivent rejoindre leurs copains Ivres, morts, fatigués, torturés et j'en passe Tel fut leur destin de débauchés Encore des victimes de la fille aux cheveux courts De jolies toilettes elle s'enveloppera Un collier sautoir, des fleurs dans les cheveux aussi Vous appateront tout comme Lorsqu'elle se posera sur vous, attention Car c'est son grand moyen de séduction: Réveiller l'instinct paternel en vous Son nom, Loulou Louise ou Lola, Nana Les femmes comme elles portent toujours ces prénoms là Leur magnétisme attirent tous les hommes Tandis que leurs fiancées et femmes se cloisonnent Rêvant elles aussi de cette liberté Dont elles ne peuvent jouir de peur, D'être rejetée, piétinée Alors que c'est durant la période des années folles On fume, on boit, on se pare Alors ni une, ni deux, ces dernières débarquent Dansant elles aussi, cherchant du regard Un prétendant bien qu'avec un peu de retard Sauf qu'une fois leurs objectifs atteints Revoici le matin et courant, elles Doivent rejoindre leurs copains Ivres, morts, fatigués, torturés et j'en passe Tel fut leur destin de débauchés Encore des victimes de la fille aux cheveux courts
Publicité
Publicité
charlestonwoman
Publicité
Publicité